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Rosen Schwert - traduction
Les larmes vont couler avec cette pensée qui transperce ma poitrine
Ton ombre ne me quitte jamais
L'aiguille qui redevient vivante au milieu de la saison qui revient
Ah... Elle traverse mon coeur qui se fane
En ce jour d'automne la brise cesse
Ce spectacle est comme desséché dans mon coeur
Aussi maintenant je ne peux quitter tes bras
Caché par les larmes écoulées tu n'es pas là
Pour ce que cela devait être, si bien que je m'habitue à ce monde aussi
Éternellement, les larmes finissent par faner
Ta voix ne me quitte jamais
Dans le décor qui va couler en cette saison qui arrive
Tu n'es plus là comme ce jour
Encaissant le désespoir avec beaucoup d'adieux
Les gens seront-ils bons en vivant seuls ?
Dans le passé j'étais cloué par le doute
Les seules choses qui n'ont pas fané sont les roses artificielles
Quelqu'un d'autre ne devrait pas espérer ainsi
Éternellement, les larmes finissent par faner
Ta voix ne me quitte jamais
Dans le décor qui va couler en cette saison qui arrive
Ah... Mais tu n'es pas là
Rencontre. Douleur. Tristesse. Solitude. Mots. Actions. Saisons. Tendresse.
Maintenant je mets tout le monde à l'écart
Dans le décor qui est comme desséché tu as l'intuition que c'est maintenant
Pour ce que cela devrait être, si bien que quelqu'un d'autre s'habitue
Les larmes vont couler avec cette pensée qui transperce ma poitrine
Ton ombre ne me quitte jamais
L'aiguille qui redevient vivante au milieu de la saison qui revient
Ah... Elle traverse mon coeur qui se fane
Tags : quitte, larmes, saison, fane, couler
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